En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Voici aujourd'hui une troisième livraison de la revue annuelle de l'Association des Libres Penseurs de France.
Revue thématique de qualité, ce numéro est entièrement consacré au féminisme. Un sujet tabou dans nos sociétés encore particulièrement en prise avec l'archaïsme. Faut-il en rappeler les raisons ? Vous les trouverez tout simplement dans ce numéro écrit quasi uniquement par des femmes.
Pour vous le procurer c'est simple : il vous suffit simplement de questionner les administrateurs sur leur site (voir notre catégorie "Liens Amis").
Je ne doute pas qu'il sera pour vous, comme il l'a été pour nous-même, d'un incontestable intérêt afin de bouger les lignes poussiéreuses d'un sexisme triomphant.
(152 pages, 13 € - Avril 2018 – Les Éditions libertaires)
Parmi nous, certains pourront dire : encore un livre de plus sur un sujet archiconnu. A priori, comment ne pas le penser ? Mais, après avoir parcouru quelques pages, arrivera vite l'envie de poursuivre sa lecture. Dans presque tous les chapitres, courts et fort nombreux, nous pouvons glaner de précieuses informations oubliées, sinon inconnues.
Justhom parsème effectivement ses propos de données plombés par l'épaisse nuit du silence qui les entourent. Il rappelle l'atmosphère de ces moments terribles et, de ce fait, rend plus dramatique et plus révoltant le titre même de son ouvrage. Au fil des pages, on ne peut qu'être effaré par tous ces drames et ces innombrables génocides qui ensanglantèrent l'histoire des peuples, des régions et, tout simplement, des familles. C'est incroyable, c'est impensable d'imaginer de telles souffrances qui – est-ce étonnant ? - continuent à perdurer. Arriver à un tel niveau d'horreurs commises, on ne peut pas parler seulement d'erreurs liées à une quelconque folie humaine. La responsabilité des institutions et de ceux qui les président se trouve entièrement engagée. Accordons à l'auteur qu'il s'agit bien d'un fanatisme qui se meut et s'orchestre à partir de pensées totalitaires.
Oui, ce sont bien 152 pages dignes d'intérêt. S'il ne s'agissait que de petits faits monstrueux perpétrés par les religions, auraient-ils quelque chance chance d'être reconnus ? Ils vont bien au-delà et il faudrait donc pour cela que tous ces fanatismes soient considérés, puis jugés comme crimes contre l'humanité. Si tant est qu'un jour le Tribunal pénal international de La Haye s'empare de ces affaires, bonjour le travail et bonjour la remise en cause ! On peut toujours rêver...
En attendant, plongez-vous dans cette description de l'apocalypse en vous procurant rapidement – de préférence - cet étonnant ouvrage.