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Courage, fuyons !

Quand à l'ONU les discours écolos viennent animer cette enceinte un drôle de climat s'y installe. Il a de quoi faire regretter à quelques chefs d’État - dont le nôtre - à y être présents.

Le canard enchaîné, Erik EmptazMême surjoués les propos de Greta n'ont nullement ébranler les consciences de nos spécialistes, ces voleurs de "ses rêves et de son enfance". Malgré tout, elle a eu cent fois raisons de dénoncer les "paroles creuses" de tous ces faiseurs de "contes de fées". Mais pensez-vous que cela les perturbent ? Pour toute réponse le président français invita tous les empêcheurs de tourner en rond à aller chaque vendredi "manifester en Pologne". Avec de tels arguments on n'a pas besoin de traverser l'Atlantique pour juger de l'inanité de ce personnage qui gère nos destinées. C'est d'ailleurs du même acabit que sa réponse faite à un jeune chômeur lui proposant de "traverser la rue" pour trouver un emploi. De qui se moque-t-il ? Quelle considération a-t-il de tous ces Français qui triment et subissent les méfaits d'un système qu'il gère et qu'il protège ?

Oui, comme l'a parfaitement écrit Erik Emptaz dans la dernière édition du Canard enchaîné (25/09/2019), "les dirigeants des grands États ont déçu, une fois de plus". Cela fait déjà quelques paires d'années que nous le savons et que nous le répétons. Mais faudra-t-il en venir aux toutes dernières extrémités pour que les peuples réagissent comme il se doit ? Les contours du changement sont immensément grands et notre pessimisme, malheureusement, va bien au-delà de la gravité écologique qui avance à grands pas. Mais ne perdons pas espoir pour autant !

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