Une journée qui, aujourd'hui, a perdu son sens.
Il n'y a plus que les férus d'histoire sociale pour se souvenir des origines de cette journée consacrée aux revendications ouvrières. Saluons les deux martyrs anarchistes de Chicago : Sacco et Vanzetti, victimes de la brutale répression policière à l'encontre du mouvement prolétarien américain.
Regrettons l'épaisse couche de crasse qui enveloppe l'opinion publique. Comment ne pas constater qu'il s'éloigne toujours plus des centrales ouvrières. Un bien triste 1er Mai !